Tout d'abord, je vous souhaite une merveilleuse année 2016. Aimez-vous et surtout, dîtes-le vous. Merci beaucoup de me suivre et de suivre ma page fans sur Facebook ainsi que mon compte Instagram. Merci également pour tous vos gentils messages quand j'ai supprimé mon ancien blog et mon ancienne page fans. Je ne pensais pas que vous étiez autant à me lire et ça me touche beaucoup.Tout recommencer à zéro n'est pas une chose facile, même si je suis contente de ce nouveau départ. Alors, tous vos petits likes, vos partages sur Fbk, c'est vraiment adorable... ça me fait très plaisir!
Bon, revenons à nos moutons.
Je te préviens, quand je t'aurai raconté mon réveillon de pure folie que j'ai passé avec mes déjantés de colocs, tu risques d'être grave jaloux(se). Le réveillon sur les Champs à côté, c'est de la gnognote.
Il faut savoir que cette fois-ci s'est tout de même mieux passée que l'année dernière où mon coloc le plus jeune avait chié sur le parquet , ce qui, tu en conviendras aisément, faisait un peu tâche (c'est rien de le dire.) De plus, cette année, je n'étais pas enceinte (ou alors je ne suis pas au courant) , ce qui fait que j'étais d'une humeur tout à fait honorable pour un 31, puisque j'allais pouvoir me gaver de champagne et de foie gras. Oui, je sais, quand on est enceinte,toutes ces choses là ne te manquent pas, tu es tellement comblée et épanouie de l'intérieur que tu pourrais vivre au sommet de l'Himalaya à boire des tisanes et tondre des moutons toute la journée.
Je ne dois pas être une femme normale (mais promis, en 2016 je fais une thérapie)
Donc, ce réveillon démarrait sous les meilleures hospices. Surtout, que, tiens-toi bien, une nouvelle coloc avait pointé le bout de son nez, et pas n'importe quelle coloc s'il te plaît, une coloc de 5 mois, élue miss couches mouillées 2015, insomniaque, prête à faire la fiesta toute la nuit, chaude comme une baraque à frites. Inutile de te dire qu'avec de tels compagnons de teuf, nous avons décliné toutes les invitations des amis, nous avons préféré rester tous les quatre.
J'avais préparé un agneau de 7 heures, une crème au foie gras ainsi qu'un clafoutis aux courgettes, de la baballe... Top Chef, c'est moi.
A 20 heures, la fête a commencé. Pinces d'Or était chaud comme la braise, il a revêtu son short de chantier, mis à fond son album d'Alphaville, que je croyais disparu dans le chantier (pas de bol) et a commencé à danser avec Chucky sous mon regard déconcerté et impuissant. Les emmerdes commençaient. Il fallait que j'agisse.
J'ai pris ma voix la plus douce et je lui ai demandé: "Chéri, heu... et si tu mettais ta belle chemise que je t'ai offerte pour notre anniversaire de mariage? " (parce que là, tu ressembles un peu à un ouvrier polonais à l'heure de l'apéro) N'écoutant que son amour pour moi, Pinces d'Or est parti se changer. Bingo! C'était THE MOMENT... J'en ai profité pour changer de CD illico presto, ni vu ni connu, j't'embrouille. Miles Davis était dans la place ( je ne suis pas une meuf très funky)
Pinces d'Or est revenu, tout beau tout chaud et on a commencé à ouvrir le champagne et à se remémorer l'année de fous qu'on avait passée (cf dernier article). C'était juste magique de se dire que c'était notre premier réveillon à quatre. J'ai lu à Pinces d'Or mon dernier billet (merci pour vos messages à ce propos) et il était carrément ému. On dirait pas, mais c'est fragile ces petites choses là... On s'est dit que c'était merveilleux de passer ce réveillon avec nos deux enfants, qu'on était enfin au complet, qu'on était bien.
La soirée s'est déroulée plus ou moins calmement. On a couché Miss Couches mouillées à 21h, faut pas déconner non plus.
Entre deux plats, on dansait tous les trois. Pinces d'Or avait mis la main sur son Best Of de Sandra (si, je te jure...) Chucky et lui étaient comme des fous en dansant dessus. Moi aussi après trois flûtes j'étais déchaînée et je me déhanchais sur la musique en hurlant "In the middle of the night!".
Bon, il faut que je t'avoue de suite: Je n'ai pas tenu jusqu'à minuit. A 23h30, j'ai déclaré forfait. C'est que je ne suis plus habituée à boire moi... Et puis, ça m'a crevée cette méga boom improvisée. Je me suis donc couchée avant Chucky (la honte).
Mais n'empêche, il était tout de même vachement sympa ce réveillon à quatre. Cela dit, l'année prochaine, j'espère qu'on se joindra au commun des mortels, aux gens normaux quoi, car se coucher à 23h30 et s'apercevoir qu'il y a une couche dans le lit, ça le fait moyen quand-même.
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